Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Through : voir le monde à travers un objectif
Derniers commentaires
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 108 047
7 septembre 2007

II.

RER B. 23h20. Un soir de semaine.

Il n'y avait pas foule. Pas un bruit non plus. Seulement le long sifflement des roues métailliques sur les rails. Les appels  d'airs par les fenêtres sales. Les claquements des particules de silence. Personne ne parlait. Personne ne se parlait. Tous des voyageurs solitaires. En individuel. Elle aussi. Assise tout au fond du wagon. Son horizon. Des cloisons bleues. Quelques touches de rouge et de jaune. Elle observait les autres. Droit devant elle. Juste là, sous son regard. Des crânes plus ou moins chevelus et des visages plus moins expressifs. Jamais un face à face. Tous s'évitent. S'absorbent dans un magazine ou dans le néant des souterrains. La musique change dans ses oreilles. Quelque chose s'éveille ou se brise dans son regard. Elle pourrait rester là. Assise. A jamais. Ne plus bouger. Aller jusqu'au terminus qu'elle ignore. Et voir ce qui se passe. Attendre. Le déluge. L'apocalypse ou le prochain convoi.  demeurer inerte. L'oeil sur le défilé des tunnels ou peut-être sur des paysages nocturnes. Quelques lumières peut-être sur le noir horizon. Au lieu de cela. Chatelêt, et ses sièges en plastique orange. Tout le monde descend. Vers ailleurs. Vers nulle part. Peut-être. Où vont tous ces gens au coeur de la nuit. Les couloirs déserts. En journée bondés. N'indiquent aucune direction. Tout au plus un dédale d'autres couloirs. De couleurs blafardes. Rien, en somme. Elle suit le flot. Puis se disperse. La musique tape toujours à son coeur. Elle s'engouffre sur le tapis roulant dont elle ne voit pas la fin. Lutte. Un pas devant l'autre. Mais se sent inerte. On la fixe. Elle le sent. Reprend conscience. Hagarde cependant. Elle n'est pas d'ici. elle méconnaît tout. Elle a pris le mauvais chemin. Celui-ci à défaut d'un autre. Le sens d'une flèche, au hasard. Elle s'arrête. La mécanique la ramène en arrière. Devant elle. Droit devant. S'éloigne la destination. L'accessible.

Publicité
Publicité
27 septembre 2007

V.

Il a mis longtemps. A relever les yeux. A oser les planter en face de lui. Avec fierté et volonté. La main posée sur la porte coulissante. Pour voyager. Se donner le droit de fuir. De regarder ailleurs. Plus loin. De sentir une présence. Et son autre main, maintenue. En sécurité. Dans la chaleur connue. Là où nulle interrogation ne vient tracasser son esprit.
Longtemps aussi à sourire. Peut-être se posait-il des questions. Se sentait un peu menacé. Et puis, quand la porte s'est refermée. Quand il a fait un bon en arrière. Surpris. Malgré la sonnerie. Trop absorbé à donner des coups d'oeil à la dérobée. Et quand rassuré par la rire de sa maman. Le petit garçon a regardé le mien. Et m'a rendu. Derrière les plis de la veste maternelle. Le sien. Son sourire. En même temps qu'une nuée de battements de cils. Entre envie d'épier. De détailler. De s'approcher. Et recul préventif. Derrière les jambes de sa maman. Laquelle a posé ses mains sur le tête de l'enfant.
Les stations défilent. Mais il ne lâche rien. Ne baisse plus le regard. Et, à défaut, le détourne par moment.
Et en sortant de la rame. Il se retourne. Ôte sa sucette où pend son doudou. Et souris franchement. Et me salue de sa petite main.

Petit rien du RER B.

7 janvier 2008

Exit Meetic. Welcome Lavotomatic.

Joindre l'utile à l'agréable... Une des doctrines préférées d'Horace comme me le soulignait il y a peu une sage voix. Le progrès nous attend parfois au coin de la rue... Et il peut même nous surprendre. Et oui, encore ! Incroyable, non ? Après tant d'avancées technologiques, il a plus d'un tour dans son sac, le malin. Enfin peut-être pas en matière de civisme et d'humanisme. Mais que voulez-vous, on ne peut pas tout régler en même temps.
Aujourd'hui, plus besoin de payer une cotisation pour accéder aux pages misérablement designées de Meetic, le paradis légal de la drague, et plus si affinités. Ni de passer des heures (perdues) à trier les prétendant(e)s qui vous choisissent pour votre petit minois placardé dans les cases prévues à cet effet. Ni de se ruiner les doigts sur un clavier pour chatter en live, jusque trop tard dans la nuit, sur MSN pour tester la brochette de vos élu(e)s retenu(e)s après plusieurs tours et moult débats intérieurs, évidemment. Plus besoin, non plus, de retirer un à un les espoirs et les onces de millièmes d'hypothétiques sentiments à la pince à épiler quand tout capote. Maintenant, pour joindre l'utile à l'agréable, sans oublier le pratique, il faut tout faire en même temps ! Et oui. C'est tellement plus simple et rapide. Élémentaire ! Il suffit pour cela, par exemple, à hauteur d'une fois par semaine (posologie minimale) de décrocher son regard du soporifique roulis d'un tas informe mais coloré de vêtements, boulochant gentillement dans la machine à laver du lavotomatic du coin. Et de regarder les gens qui attendent à vos côtés. Qui siègent devant les séchoirs. Ou cassent la caisse qui a décidé de faire des caprices. (Heureusement que ce n'est pas tombé sur vous ! ) Et voilà. Le tour est joué. Emballé c'est pesé. En même temps que vos jeans, polos et autres chaussettes trouées, vous embarquez le numéro de la demoiselle qui s'ennuyait (selon vous, alors qu'elle lisait). Il fallait y penser ! Le rendement, il n'y a que cela de vrai. Et veine supplémentaire, vous avez économisé du temps. Et de l'argent ! Puisque évidemment, toute votre monnaie a été englouti dans un tour de machine à laver à 3,20E, une dose de lessive Super Croix en tablettes à 0,90 cents et trois fois 10 minutes de séchoirs à 0,80 cents l'unité. Le café, une autre fois... Quand elle vous rappellera, comme elle l'a dit. Vous ne doutez de rien, pas même de son sourire (de politesse). Vous êtes certains que votre charme a opéré. Elles tombent comme des mouches ces demoiselles... Donc, la prochaine fois, vous la conduirez au café du coin...
Mais oh mon gars, réveille-toi ! Où tu as appris le romantisme ? Où as-tu appris l'art de la séduction ? Dans un cours du soir en promo sur Internet peut-être ? Tu crois vraiment que les jeunes filles en fleur que tu caresses de ridicules et postillonnants "vous êtes vraiment trop charmante, c'est dingue" aiment se retrouver observer par un jeunot sans prénom mais à l'haleine de putois à 13h20 alors qu'elles sortaient leurs culottes du tambour de la machine ?

Et voilà, une troisième laverie à trouver !
Zut, c'est la moins chère du quartier.

12 décembre 2007

Clin d'oeil.

Petit clin d'oeil... Une note que je viens de découvrir et qui me plaît bien.

Une note de Bertrand Guillot, auteur d'Hors-Jeu (aux éditions Dilletante)
et auteur des blogs secondflore et de  prixdeflore2006.

Post à une jeune inconnue

- Monsieur, il y a une demoiselle dans le coin, là-bas, qui est très importunée par vos regards incessants.
- Je peux reprendre un café ? Et un verre d’eau, s’il vous plaît.
- Tout de suite. Vous voulez bien changer de table ?
- Oui, bien sûr…
- La jeune femme en sera ravie.
- Vous en êtes sûr ?
- Certain, Monsieur.
- Eh bien, c’est inespéré. Mais je n’osais pas…
- C’est moi qui vous le demande, Monsieur.
- Dans ce cas. C’est que je n’osais pas… lui demander de me joindre à sa table. Elle est avec ses amis, vous comprenez.
- …
- Vous préférez que je lui demande moi-même, si je comprends bien ?
- Je préférerais surtout que vous ne fassiez pas d’histoires.
- Aïe ! Là, vous me posez un problème. Parce que, voyez-vous, moi, je suis là pour ça.
- En ce cas, je crois que nous n’allons pas nous entendre.
- C’est possible. Vous m’apporterez tout de même mon café ?
- A condition que…
- A vos conditions. Je vais prendre une bière aussi, à la place du verre d’eau.
- A cette table ?
- A cette table.

Il repart avec son plateau. Je le suis des yeux : il discute avec son patron, derrière le bar, hoche la tête et actionne sa tireuse en me jetant un regard en coin. Je lui souris, mais il a déjà tourné la tête, de l’autre côté de la salle. Puis il revient, décidé.

- Un café et une pression. Je vais servir la table de la demoiselle. Si elle me demande de vous changer de table, je...
- Et si je vous demande de lui passer un message ?
- Je vous demanderai de rester sage.
- N’ayez crainte ! Si vous m’apportez deux autres sous-bocks, je vous promets qu’il n’y aura pas d’histoire. Plus ici, en tout cas.


Mademoiselle,
La première fois que je vous aie vue dans ce café, c’est la façon dont vous teniez votre cigarette qui m’a attiré.
La deuxième, c’était votre rire.
Dès que je n’avais plus d’idée, je me tournais vers vous. Je commandais un autre verre avant que vous ne partiez. Puis je reprenais mon stylo, et tout revenait.
Je ne vous ai pas mise dans mes histoires, mais elles vous doivent beaucoup. Sans vous, qui sait, elles auraient pris une autre direction.
Aujourd’hui, vous venez de me donner la fin de ce recueil. Je voulais que vous le sachiez, on donne souvent sans s’en rendre compte.
Merci pour tout, et à bientôt !
Ailleurs, sans doute.
Je suis très fidèle.
X

- Garçon ! Vous voudrez bien porter ce message à la demoiselle ? Vous pouvez le lire, si vous avez peur… Et tenez : offrez-lui aussi mon verre, s’il vous plaît. Je vais vous prendre une coupe de champagne.
- Vous êtes un excentrique.
- Pas tant que ça. Oh, et attendez ! Deux coupes, s’il vous plaît.


Messieurs les Dragueurs, prenez-en de la graine.
Une bonne dose !!

21 novembre 2007

Quand le métro dort ...

Quelques pas. Les premières discussions embrumées du matin bousculent les deux immeubles qui jalonnent la rue. A quelques pas de là, des talons résonnent. Une course folle à pas cadencés débute. Doucement. Pour prendre le temps de surprendre Paris dans sa torpeur. La nuit et le jour sont encore unis et aucun ne veut céder sa place. Le temps n'a pas d'importance. Le tour est joué. Le point marqué. Couchée tard. Levée tôt. Avant même que ne chantonne le réveil. Pour filer plus vite encore dévorée Paris. L'œil aux aguets. La peau à fleur. Et Paris tient ses promesses.
De rues en boulevards. De quartiers en arrondissements. Si peu de bruit et tant de mélodies. Rares sont ceux qui ont passé la porte de leurs intimités. Ils se dessinent parfois à coup de silhouettes en contre jour sur des lumières tamisées. Les fenêtres s'éclairent peu à peu. De part et d'autre de l'échiquier parisien. Tout semble au ralenti. Même les monuments ont perdu leurs habits de lumière. la pénombre plane. La simplicité aussi. Le faste de Paris n'en est pas moins à son apogée.
Peu à peu les âmes s'ébrouent sur les pavés. Aux angles des rues apparaissent des hommes en costume. Des femmes en trench coat. La pluie guette. Puis tombe. Elle s'amuse à reluire le bitume. Et se moque des éclats des réverbères comme si prennent pour des étoiles. De plus en plus de phares apparaissent. De personnes aussi. A-t-on déjà vu autant de parisiens dans les rues à l'aube d'un mercredi de novembre ? peut-être pas. Mais quand le métro dort et que les agents de la Ratp somnolent au fond de leurs lits, les parisiens marchent. Et quand Paris s'éveillent et que les lampadaires cessent de diffuser leurs halos, les parisiens arrivent à bon port avec davantage de magie dans les yeux que celles des publicités dans les couloirs des métros bondés.

Si cela ne tenait qu'à moi, je supprimerais les quatre, cinq heures de sommeil qu'il reste pour épier Paris. Du crépuscule à l'aube. Pour suivre les parcours lumineux des monuments. Qui à 02h cessent de jouer les beautés parisiennes et sombrent dans l'anonymat de la pierre. Et jusqu'à ce que l'électricité se fasse la belle à quelques heures de là. J'observerai Paris respirer dans son sommeil.

Publicité
Publicité
3 novembre 2007

XI.

Il était bien caché. On ne le remarquait pas tout de suite. Elle attendait que le métro se met en route. Calmement. Sans se trahir. Sans s'exhiber. Une rame à l'arrêt. A un terminus. Destination terminus. D'un bout à l'autre. Il était bien dissimulé. Jusqu'à ce qu'il se manifeste. Qu'il l'interpelle. Et qu'elle lui répond. Alors le monde. Les bruits. Les regards ont disparu. Ils n'étaient plus que tous les deux. Doucement, elle l'a caressé. Puis a souri. Il s'est apaisé. Et elle a laissé son regard se porter sur l'alternance de quais et de tunnels. Plus loin, il a repris la parole. Elle lui a fait l'honneur de quelques caresses. De légers tapotements. De douces poussées. D'un côté. De l'autre. Une petite présence. Juste une petite bosse sur le pull de la future maman.

20 octobre 2007

X.

Une foule. Compacte mais mouvante. Des langues. Tant, que le latin s'en perd. Des couleurs. Beaucoup. Le regard n'accroche plus à rien. Ni aux matières. Ni aux mots. Ni aux éclats. Les femmes se ruent. Les hommes se traînent. Pris dans la marée et le devoir de suivre. Ils avancent. Pourchassent leurs biens-aimés. Les minettes dispersent leurs maigres salaires ou l'argent paternel aux quatre coins des caisses du chic. Le dernier cri. Dernier sortie. Les effusions de joie. L'objet tant convoité. Parfois si durement offert. Enfin. Plaisirs de fin de semaine bien mérité. Les sourires se lisent deci delà. Partout. Du monde. Et le temps s'enfuit. La course prend un rythme toujours plus rapide. Effréné. Le temps n'attend pas. Les Hommes ne s'arrêtent pas. Les couleurs et les odeurs. En une valse nauséeuse se mélangent. Les dames s'enlisent dans les portiques du métro. Trop de sacs siglés. Le mécanisme s'enraye. Les bras trop chargés. Elle restent bloquées entre deux moulins. A la surface, d'autres courent encore. D'un comptoir à l'autre. Et face aux plus grandes entrées des magasins des Grands Boulevards parisiens, d'autres s'installent. Etablissent leurs campements. Ne demandent rien. Ne parlent pas. Mais disent pourtant. Sacs plastiques percés. Anorak élimés. Chariots de supermarché et bidon recyclé pour quelques châtaignes chaudes dans le vent d'octobre. 2 euros le cornet. Les doigts noirs d'un chardon artificiel. Dans l'attente. Ou sur une chaise. Le regard dans le vide du bitume. Bercés par le va et vient incessants, s'endorment contre une barrière de sécurité. Ceux qui n'ont rien regardent ceux qui ont. Qui ont ce qu'ils peuvent. Ou ce qu'ils veulent. Ou trop, parfois. Les contrastes des grandes villes. Où les plus riches croisent les plus pauvres sur le même trottoir. La capitale. Le lieu des excès. Paris.

23 février 2008

Chronique du Métro XIII.

Elle n'a pas l'air forcément rassurée. Peut-être pas très à l'aise non plus. Là, au bord de son quai. Elle l'arpente sans cesse de droite à gauche. De gauche à droite. Un bonnet blanc enfoncé sur les yeux. Les mains dans les poches d'une veste en cuir beige. Elle balance ses pieds à chaque demi-tour qu'elle effectue immanquablement à l'aide d'un pas enroulé. Et puis, elle se fige, face aux quais. Et sourit, avant de lancer un "le mien arrive dans deux minutes, et le tien ? " Un jeune homme en costume. Sans cravate. Attaché case à la main lui répond "dans sept minutes". Il vient juste d'arriver sur le quai, cherche un espace libre et replace le tombé de sa veste. Ils haussent les épaules face à l'inégalité de l'attente et l'imminence de la séparation. Ils se font des signes, pour s'expliquer dans quel sens arriveront leurs RER respectifs. Et se remettent tous deux, à des rythmes différents, à sillonner leurs coins de quais. Le RER B, direction Robinson, 23h07, entre en station. Elle se retourne une dernière fois. Lui envoie un baiser déposé sur sa main puis disparaît derrière la masse du train. Il cherche à l'apercevoir dans la foule des étudiants fêtards qui s'est massée dans la rame ce soir. Une sonnerie. La fermeture des porte. Et le voilà qui baisse les yeux. Elle est partie.

11 février 2008

Chronique du Métro XII.

Lui ne s'assoit jamais avec les autres. Pas plus qu'il n'occupe un de ces sièges orange vif et repoussant. Jamais. Sous aucun prétexte semble-t-il. Ils ont tous leurs places dans cette enfilade. Des visages et des vêtements différents. Des rôles aussi. mais tous portent l'insondable au fond des yeux. Il y a le couple d'amis, qui rit et salue les jeunes filles, comme les moins jeunes d'ailleurs. Toujours un mot pour les faire sourire, ou simplement réagir. Il y a aussi le petit black qui passe de temps en temps. Mais il ne regarde que le carrelage d'un blanc sale et à qui il fait de grands discours, des plus argumentés. Intonations et gestuelles comprises. Mais lui. Lui reste là, derrière le pilier saturé de carrelage. A même le bitume grisâtre. Coincé dans l'angle. Juste à la limite de la rigole d'évacuation. Et il dort. En boule, toujours. Le dos tourné au quai. Il ne tue jamais ses journées à coup de rêves bien calé dans le plastique criard qui s'aligne pourtant à quelques pas de là. Il ne se moque pas du temps qui s'étire en trinquant avec les autres, à coup de bière et blagues. Ils sont pourtant eux aussi, à deux pas. Comme pour dire qu'il n'est pas de ce monde là. Ou peut-être qu'il n'a même plus le droit à ce monde là. Il a cependant fier allure dans sa veste de costume ocre. et dans le fond de ses yeux, de la dignité.

Station Goncourt, ligne 11. Quatre personnages du quai.

31 mars 2008

Avis à la population ! Mention photographes.

Bonjour à tous,

Je cherche à découvrir le monde de la photo en studio ou des mises en scènes en extérieurs pour des tableaux photographiques. Soit pour la mode, soit pour des séances avec des enfants ou pour la photographie culinaire. Si des bonnes âmes passent par là ou on des infos pour me permettre d'assister et par là d'apprendre un peu plus les ficelles de cet aspect de la photographie, n'hésitez pas à me faire signe ! Se serait vraiment génial !

Merci d'avance.


A-Laure

1 août 2008

Un peu de lecture ?

Pour l'été, rien de mieux qu'une bonne palette d'idées lectures ...
En voici quelques propositions, via des critiques ou des rencontres d'auteurs ...
(cliquez sur les titres ... et hop ...)

Veiller tard.
Je ne connais pas ma force.
Onze femmes.
Le fait du Prince.
De ça je me console.
Cuisiner les ingrédients japonais.
Chanson pour bestioles.
Tu peux sortir de table.


Et bien sûr, le numéro d'août du magazine culturel Muze.

Tout cela vous donnera peut-être envie de partager vos coups de coeur.
Qu'ils soient récents ou non ...

26 juin 2008

Quelques articles ...

Si le coeur vous en dit, un brin de lecture ...

Les éditions J'ai Lu fête ses 50 ans sur Obiwi.
Découverte de la galerie (photo) Polka sur Culure&Cie.
Chroniques sur le recueil 11 femmes, 11 nouvelles inédites,
sur Culture&Cie, OrSérie et Obiwi.

Et Muze, toujours, avec en juillet un spécial Polar.

Bel été à tous.

25 septembre 2008

Normandie #14.

Souiville sur Hague.

Normandie_450_copie

Normandie_451_copie

Normandie_447_copie


Normandie_449_copie


Normandie_452_copie

22 septembre 2008

Quelques articles ...

Sur Culture&Cie,
critique cinéma : "Be Happy" de Mike Leigh.
"Gomorra" de Matteo Garrone.

Sur OrSérie,
actualité gourmande : "Inauguration du bar Ladurée"
critique théâtrale : "A trois" de Barry Hall

Sur Buzz Littéraire,
critiques littéraires : "Dessous, c'est l'enfer" de Claire Castillon
"New Wave" d'Ariel Kenig
A venir critique théâtrale : "Elle t'attend" de Florian Zeller
"Célibataires" de David Foenkinos.

Sur Obiwi,
Article "La culture dans la petite lucarne"



16 septembre 2008

Quelques articles.

Sur le relooké Culture&Cie,
Exposition Richard Avedon au Jeu de Paume.
Portrait de Richard Avedon.
Critique littéraire : Nina Bouraoui.
Critique cinéma : Wall-E.

Sur le girly OrSérie,
Du nouveau sous la douche (avec Lush).

Sur le coloré Obiwi,
Amélie Nothomb s'installe au Virgin (reportage)
Critique du dernier album de Mylène Farmer.

A venir sur
Le Buzz Littéraire :
Critiques ... de Claire Castillon, Dessous c'est l'enfer.
Ariel Kenig / Gaël Morel, New Wave.
Florian Zeller, Elle t'attend (théâtre)
David Foenkinos, Nos séparations et Célibataires (théâtre)

Et encore, du théâtre, du cinéma, de la littérature ...
Et ici, des photographies de Paris, un dimanche à Montmartre, de la Normandie ...

24 novembre 2008

London City #5.

London Beach.
En allant à la Tate Modern.

london_095_copie

london_092_copie

london_104_copie

london_102_copie

Vue d'une baie du Tate Modern.
Milleminium Bridge / Tamise / St Paul

london_121_copie

En traversant la Tamise.
Milleminium Bridge.

london_136_copie

Sur le Milleminium Bridge.
Tower Bridge.

london_144_copie

De l'autre côté de la Tamise.
london_147_copie


Big Ben.
london_066_copie

19 janvier 2009

Quelques articles.

Critiques Littéraires :
OLIVIER ADAM, une littérature à hauteur d'homme. " Des vents contraires " sur Culture&Cie.
AUDREY DIWAN : une trépidante mélancolie à l'aube de la vieillesse. " De l'autre côté de l'été " sur Culture&Cie. (co signé par Axelle Emdem)
Les combats ordinaires de STEPHANIE HOCHET pour " Le Combat du coeur et de la faim ". sur Culture&Cie.

Actualité littéraire :

Le Lilas, le prix littéraire au féminin, l'édition 2009.

Reportage photo :
Les coulisses du Prix Lilas.



Pour les photos actuellement postées sur le blog, désolée, pas toujours top la qualité.
Cela manque cruellement d'humain (ou me manque). Mais le temps aussi manque pour des séances de photos de rue.
Ca viendra. D'ici là, sorry.

31 janvier 2010

INFOS TICKETS DE TRAIN

Bonjour à tous,   

Je revends des tickets de train (prem's) aller-retour Paris / Bordeaux.
Départ  Paris samedi 27 mars à 07h
Départ Bordeaux dimanche 28 mars à 18h.
Total des tickets : 67€
D'après le site de la SNCF, il s'agit des derniers tickets prem's disponibles.

Si cela vous intéresse, contactez-moi...

29 juillet 2010

La photo ratée !

Dimanche dernier, je patiente (trop longtemps) sur le Quai de New-York pour shooter la dernière étape du Tour de France. Après quelques images, je me décide à rejoindre les Champs Elysées, pour tenter de faire quelques images malgré la foule et mon équipement inapproprié. J'emprunte l'avenue George V et je tombe sur une foule massée dans un palace. Je dégaine mon appareil, shoote tout en essayant de comprendre ce qui se passe, qui est là et d'essayer de tirer quelques photos de cet attroupement. Le vacarme des, semble-t-il, fans est infernal. Il me semble entendre un nom type Jackie Smith. Inconnu au bataillon ! Les voitures démarrent et à contre-jour, et malgré les vitres fumées, je vois Jackie Chan.
Quelques heures plus tard, devant le JT de TF1, je vois Jackie Chan et le fils de Will Smith interiewés pour la sortie du cultissisme "Karaté Kid". Ah zut alors ! Je n'ai que les gardes du corps et le staff de l'hôtel sur mes clichés !

21 janvier 2010

Back

Bonjour à tous,

Non, je n'ai pas abandonné mon blog... Loin de moi l'idée, d'ailleurs !
Pour cause d'ordinateur tombé en panne et de non réception (à ce jour) d'un nouvel engin, je ne peux plus poster d'images. Pourtant, j'en ai quelques unes qui patientent dans l'appareil... Tout est question de patience, enfin surtout pour moi c'est évident. Les nerfs s'usent vite sans photographies. Heureusement, j'ai toujours les vôtres à découvrir !
A très vite, j'espère !

8 décembre 2009

Défi Europe Gourmande sur Obiwi.

Le site Obiwi.fr proposait il y a quelques semaines un défi !
En quelques mots... "un défi, trois propositions" et pour participer, trois possibilités donc...
-chroniquer soit un livre (roman, essai, etc.) où la gastronomie joue un rôle central soit un livre de cuisine (cuisine française, anglaise, grecque bref européenne, peu importe le thème du livre: cuisine familiale, apéritifs, dessert etc.)
-publier vos photographies culinaires.
-publier une recette d’un pays européen (ici nous exclurons la cuisine française)"
J'ai opté pour ... des photos...

Et le 07 décembre, les résultats...
http://www.obiwi.fr/saveurs/cuisine/84708-defi-europe-gourmande-les-resultats

13 novembre 2009

Avis à la population...

Photographes, blog-addict ou les deux, une petite demande de coup de main...

Je cherche des sites web (et pas des blogs) qui utilisent des vignettes de photographies (sur un côté de la page ou en bas de page) pour présenter au centre les images en grand.
Un peu comme là : http://zinotchka.free.fr/galeries/index.php  ou alors, dans l'esprit des diaporamas Flickr.

Des idées ? Des liens ? Merci...

10 juillet 2009

Quelques articles.

4 juin 2009

Quelques articles.

23 avril 2009

Quelques articles ...

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 20 30 40 50 60 70 > >>
Publicité